Vitamine D, calcium, alginate et biofilms

Pour la seconde fois, une prise de vitamine D3 cholécalciférol est suivie dans les 24h de ces 2 symptômes :

  • incarnation de l’ongle du même gros orteil
  • les « os qui poussent », symptôme qui m’arrive dès que je prends du calcium. J’ai un os au milieu du pied qui semble pousser vers le bas (confirmé par une réflexologue) et je me mets à marcher de travers.

La vitamine D ne contient pas de calcium, par contre elle permet « d’augmenter la capacité d’absorption de l’intestin pour le calcium et le phosphore » et ainsi « d’assurer une minéralisation optimale des tissus minéralisés, notamment os, cartilage et dents » et « de contribuer au maintien des concentrations plasmatiques du calcium et du phosphore » (1). Or, j’ai déjà constaté que dans mon cas, la prise de calcium issu de produit laitier (parfois juste un yaourt) est parfois suivie de ce symptôme d' »os-qui-pousse ».

Heureusement ces 2 symptômes passent avec kiwi+sel puisque le sel dissout le calcium.J’applique également un cataplasme d’argile sur l’ongle incarné, cela passe rapidement.

Des études ont démontré que les biofilms générés par les borrélies contiennent du calcium (2).

Dans cette même étude, ils ont également démontré la présence d’alginates dans les biofilms. Je me suis donc penchée sur cet alginate, ou acide alginique :

« L’acide alginique est tiré des algues et permet la production de fibres d’alginates de sodium et de calcium. Les alginates alcalins forment dans l’eau des solutions colloïdales visqueuses. Si l’acide alginique est insoluble dans l’eau, l’alginate de sodium est lui très soluble dans l’eau, » (3)

Or, un spécialiste de l’observation des borrélies au microscope m’a indiqué que les borrélies adoraient les milieux visqueux, dans lesquels elles se déplacent avec une rapidité exemplaire… Donc les borrélies préfèreraient l’alginate de calcium à l’alginate de sodium…

Alors, il est intéressant de savoir quand est-ce que nous mangeons des alginates sans le savoir :

« Les alginates peuvent former des gels durs et thermostables utilisés comme additifs alimentaires (E400 à E405) permettant la reconstruction des aliments (jambon, cordons bleus, poisson pané…). Les alginates donnent une texture onctueuse à nombre d’aliments tels que les crèmes glacées. » (3)

(1) http://fr.wikipedia.org/wiki/Chol%C3%A9calcif%C3%A9rol

(2) http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3480481/ (article en anglais)

(3) http://fr.wikipedia.org/wiki/Alginate

Un lien possible entre Lyme et l’EHS ?

Certaines bactéries se nourrissent d’électrons. Est-ce le cas pour lyme ? Si oui, alors la pollution électromagnétique actuelle pourrait expliquer la recrudescence de cette maladie… Cela pourrait également expliquer le lien entre la maladie de Lyme et l’électrosensibilité : les électrons que nous captons dans l’air pollué électromagnétiquement sont peut-être récupérés par les bactéries pour qu’elles s’en nourrissent, et une surcharge électrique s’accumulerait dans notre corps…

Cela expliquerait également pourquoi la bactérie s’attaque à notre système nerveux, notre circuit électrique interne qui conduit les électrons…

http://www.nature.com/ncomms/2014/140226/ncomms4391/full/ncomms4391.html

Voir aussi l’article sur l’argile, une aide pour les EHS :

Contre l’irritabilité, la surcharge nerveuse, les parasites de la peau, l’électrosensibilité : l’argile

Cure sel + vitamine C

Un petit texte juridique pour commencer, car je ne souhaite pas avoir d’ennuis avec les institutions :

Cette cure est fortement déconseillée par les institutions médicales, car elle demande d’augmenter la dose journalière de sel.
Demandez conseil à votre médecin et à votre pharmacien, ils sont bien plus qualifiés que moi. Je ne vous conseille en aucun cas de suivre cette cure. Je ne fais que vous relater mon expérience personnelle.

Le sel
Le sel marin (sans additif), d’après mon expérience personnelle, et selon une certaine théorie (1), m’a permis d’équilibrer mon organisme, aussi bien au niveau acido-basique qu’au niveau des échanges cellulaires, et une meilleure hydratation (c’est d’ailleurs peut-être pour ça que je n’ai quasiment jamais mal à la tête). Mais il est aussi efficace contre la maladie de lyme, car c’est un antibactérien. Au moyen-âge, on en badigeonnait même les plaies des blessés pour qu’elles ne s’infectent pas, mais avec un douleur horrible pour le malade… Le sel est également extraordinairement efficace contre les morgellons. En effet, le sel est un anti-parasite : la preuve ? On conservait jadis le jambon avec juste du sel et… aucun asticot. Maintenant le sel a été remplacé dans 99% des jambons par des nitrites de sodium, classés cancérigène par l’OMS, et la consommation de sel est limitée drastiquement…

Aspects négatifs du sel
Les études médicales sur le sel montrent notamment que, à haute dose, le sel est médicalement toxique pour les reins, et il est déconseillé si l’on est atteint d’hypertension. Mais j’ai lu que la plupart des études sur le sel portent sur le sel de table, composé de sel raffiné (donc privé de ses oligo-éléments) et avec des additifs : jusqu’à récemment on trouvait de l’hydroxyde d’aluminium (!!!), qui a été remplacé par du ferrocyanure de potassium. A quoi servent ces additifs ? A ce que le sel n’absorbe pas l’eau et qu’il ne devienne pas humide. Or, je pense que ces additifs modifient justement les propriétés chimiques du sel, et vont empêcher un bon échange cellulaire et osmotique avec les cellules du corps humain. Je choisis donc toujours du sel marin non raffiné (bourré de magnésium et autres oligoéléments), ou du sel de l’Himalaya (mais les sels rouges peuvent contenir du fluor) et parfois même je prends du sel aux herbes (avec romarin, thym, etc…)

Je n’ai pas étudié personnellement et en détail les articles scientifiques sur les effets sur les reins ou l’hypertension, donc je ne donnerais pas mon avis sur ce sujet. Le sel est en tous les cas oxydant. J’ai constaté également qu’en prenant des grosses doses de sel, cela rétracte mes gencives, donc après une cure de sel je fais une cure de reminéralisation : magnésium et surtout du calcium qui est « mangé » par le sel. Pour information, le sérum de Quinton, vendu hors de prix, c’est quand même principalement de l’eau de mer, donc de l’eau salée…

La vitamine C
La vitamine C associée au sel m’a permis de minimiser les effets négatifs, notamment les œdèmes ou la rétention d’eau, puisque je n’ai par exemple jamais eu les chevilles gonflées lors de mes cures de kiwi+sel, alors que cela m’est déjà arrivé plusieurs fois dans ma vie. A moins que peut-être (théorie personnelle) les œdèmes sont-ils justement dus aux additifs anti-humidité ? Dans tous les cas la vitamine C booste le système immunitaire qui va éliminer plus efficacement nos « amies » les bactéries spirochètes. Les spirochètes sont-ils expulsés des globules rouges avec une grande consommation de sel ? Je l’ignore.

J’ai fait mes premières cures de sel+vitamine C avec de la vitamine C synthétique lévogyre. Mais mes sensations corporelles avec la vitamine C synthétique sont immédiates, cela me liquéfie instantanément les intestins… J’ai fini par remplacer la vitamine C synthétique par le kiwi, que j’ai trouvé 100x plus efficace, même pour des dosages réputés bien moindre en vitamine C pure.  Et le kiwi est un formidable anti-oxydant.

L’origine de la cure sel+vitamine C
Lorsque j’ai commencé à me renseigner sur la maladie de lyme, je suis tombée sur un site (2) qui affirmait que l’on pouvait guérir de Lyme en combinant du sel et de la vitamine C. Ce site était très controversé sur les forums parce qu’il associait la maladie de lyme à des sortes de parasites filaments qui ressemblent parfois à des fibres textiles au microscope. Mais le traitement de la maladie était simple à mettre en oeuvre, et peu onéreux, et mon intuition me disait que les auteurs avaient l’air de bonne foi. Il ne m’en fallait pas plus pour que j’essaie.

Les bénéfices que j’ai retiré de mes cures de kiwi+sel
Grâce à mes cures de sel + kiwi, qui est aussi antiparasite (enzymes spécifiques qui dissolvent la viande (3)), cela m’a permis d’éliminer des parasites intestinaux que j’appelle « pulpes de pamplemousse », ça ressemble à… des pulpes de pamplemousse, et c’est généralement gros comme un grain de sésame, mais j’en ai sorti un une fois qui faisait 8mm de long. Je pense aussi que cela permet d’éliminer les « rope-worms », vers en forme de cordes (4). J’en ai sorti une fois en faisant un lavement légèrement salé, ça ressemblait à des morceaux de poulet. Mais avec le kiwi ça sort en bouillie.

Le sel à haute dose m’a permis d’éliminer toute trace d’arthrite, alors que j’avais les muscles des épaules qui craquaient comme s’ils étaient faits en os. Dès que j’ai cette sensation d’avoir « les os qui poussent », je me fais une cure de kiwi+sel. Je pense qu’il est possible que les dépôts de calcium dans les muscles ou les articulations ne soient en fait qu’une accumulation de biofilms, car j’ai lu que les biofilms étaient sont constitués en partie de calcium. Également, les biofilms qui se forment dans les canalisations d’eau et retiennent les bactéries, sont dus à des dépôts de calcaire (=calcium). Or, le sel dissout le calcium, donc il serait logique qu’il dissolve également les biofilms…

A très hautes doses de sel j’ai également éliminé par la peau ce que j’appelle des morgellons, des petits objets noirs indéterminés (4)

Lorsque je n’ai pas pris de sel depuis un moment, à la première dose je sens que le sel se répand dans l’ensemble du corps, d’abord par les liquides dès la 1ère minute (sang, lymphe) puis au travers des réseaux nerveux après 4 à 5 minutes. J’ai également les urines plus foncées, sans doute à cause de l’élimination du calcium. cela me diminue drastiquement la production de mucus dans l’arrière gorge ou le nez. J’ai un meilleur moral, plus d’énergie. Dans l’heure qui suit, mon corps se réchauffe. Mon corps se réhydrate. Les crampes et contractures diminuent. Je sens également ce que j’appelle des « bidibulles », des petits chatouillis ou comme des petites bulles de gaz qui s’échappent par la peau, à certains endroits, dont le foie, la colonne vertébrale, le diaphragme. Je perds 1 à 2 kilos dès les 2 premiers jours, et mon ventre se dégonfle.

J’ai testé une fois en pleine crise de herx, avec nausées et brainfog, et cela a été radical, le herx a disparu après 5 minutes. (5)

A noter qu’une personne m’a racontée qu’elle avait eu des abcès qui avaient apparu sur la peau avec cette cure.

Mon procédé
Chaque matin et chaque soir, je prends :
– 1/2 kiwi
– une gélule de sel (environ 0,6 grammes)
– un grand verre d’eau (100 à 200 ml)
– l’autre moitié du kiwi
Je rajoute parfois un bonbon miel de Manuka+citron+propolis, qui me redonne un peu d’énergie si les effets du sel sont trop déstabilisants.

Je fais des cures de 7 à 10 jours. C’est à peu près à ce moment-là que mon corps sature du sel (l’idée même de sel me donne la nausée), alors j’arrête. Je n’ai pas encore défini à quelle fréquence je dois refaire une cure ou un traitement ponctuel pour rester en bonne santé. Je n’ai pas encore défini non plus ma cure de reminéralisation anti-scorbut. Peut-être la méthode huile-bouche serait-elle intéressante (bain de bouche de 20 minutes quotidien à l’huile)

Au départ j’ai testé la méthode en mettant juste du gros sel dans un verre d’eau, et en buvant l’eau salée. Mais pour éviter ce moment désagréable, j’ai choisi de mettre le sel en gélule. Pour fabriquer mes gélules de sel, j’ai acheté des gélules et un gélulier de 50 gélules pour les fabriquer à la main. On peut aussi remplir ses gélules une par une à la main au fur et à mesure.

Une pincée de sel oui manger trop salé ne me donne pas du tout le même effet qu’une bonne dose de sel, qui fait un bon décrassage du corps en modifiant brutalement l’équilibre osmotique. Si j’ai des problèmes pour digérer le sel, il me suffit de… boire plus d’eau !

(1) Théorie sur le sel, la digestion et l’équilibre acido-basique : article à venir

(2) http://www.lymephotos.com/update.html

(3) « Le kiwi renferme une enzyme particulière, l’actinidine. Cette protéase est capable (comme la papaïne de la papaye, la ficine de la figue ou la broméline de l’ananas) de scinder les protéines en plus petites molécules. »
http://www.boitearecettes.com/fruits_legumes/kiwi-text.htm

(4) Article sur les parasites morgellons, filaments et rope-worms à venir.

(5) https://zerolyme.wordpress.com/2014/10/15/herx-nausees-brainfog-contre-kiwisel/

Théorie personnelle sur les « herx », ou réactions de Herxheimer dans la maladie de Lyme.

Ma vision du herx : un herx c’est l’état qui empire suite à un traitement qui marche assez bien, mais pas suffisamment assez bien : par exemple un traitement antibiotique, qui va éliminer les bactéries, mais provoquer d’autres mécanismes biologiques (comme la génération massive de mucus ou de biofilms) qui vont se mettre en place et empirer l’état du malade.

En général, dans la littérature des chercheurs qui travaillent sur la maladie de lyme, on attribue la réaction de herxheimer à une libération massive de toxines lors de la mort des bactéries. Cet afflux de toxines surchargerait le foie, dépassé dans ses capacités d’élimination, ce qui crée une inflammation qui peut être extrêmement violente.

J’ai toutefois une vision un peu différente, et très personnelle, basée sur différentes lectures et mes expériences et observations. Il est possible que des parasites cohabitent avec les bactéries de lyme, les « cultivent » dans des « champs » de biofilms, et s’en nourrissent. Lorsque l’on prend des antibiotiques, les parasites n’ont plus rien à manger et s’excitent un maximum (au sens propre); ils cherchent également à créer un maximum de biofilms et de mucus pour protéger leur précieuse nourriture : les bactéries.

Pour moi ce ne sont pas les toxines, mais bien les micro-parasites qui causent les herx. Ce n’est pas notre corps qui cherche à éliminer, sinon pourquoi créerait-il du mucus ? Pourquoi y aurait-il des maux de tête terribles liés à un déséquilibre des liquides, alors qu’on ne fait pas plus pipi ? Mon hypothèse : les parasites pompent tout le liquide qu’ils peuvent trouver dans notre corps pour fabriquer du mucus.

Pourquoi le corps se dessècherait-il complètement pour créer ce mucus (ce que j’ai déjà vécu dans un très gros herx) ? Pour se défendre ? Pour éliminer les toxines ? Cela n’a pas de sens. Une théorie (1) semble se rapprocher de mes observations : le mucus serait utilisé comme biofilm et « terre cultivable de bactéries ». Suite à un gros herx dû à une exposition au soleil et aux ondes, j’ai vomis un bol entier de mucus d’une sorte très bizarre, blanc et fileux (photo sur demande). Je ne vois pas quel serait l’intérêt de mon corps de produire ce mucus qui me donne la nausée et des vomissements, surchargeant mon foie et mon estomac. Par contre je vois l’intérêt des parasites dans ce fonctionnement.

Cela expliquerait pourquoi, dans mon cas, l’infrarouge supprime le herx : l’infrarouge tue les parasites. Ainsi ils ne vont plus agoniser en mourant lentement de faim, prenant le temps de faire des dégâts à l’intérieur de mon corps.

(1)  http://www.empirestatelymediseaseassociation.org/filaria/filariasis.htm#NEMATODE-BACTERIA%20SYMBIOSIS

Rajout du 15 octobre 2014 :
J’ai déjà utilisé avec succès un kiwi avec une bonne dose de sel pour lutter contre un herx :

Herx (nausées, brainfog) contre kiwi+sel

Interview du créateur du tictox, le Dr Bernard Christophe

Je viens de visionner une interview du Dr Bernard Christophe, inventeur du Tic Tox, sur la maladie de Lyme.

Le tictox est un traitement naturel d’aromathérapie, à base d’huiles essentielles. Il a des propriétés antibiotiques naturelles et antiparasite. Le Dr Bernard Christophe est en procès actuellement pour déterminer de la toxicité du tictox, car il contient un faible pourcentage d’huile essentielle de sauge. Le tictox est donc interdit à la vente en France.

Le Dr Bernard Christophe y parle de la contamination possible par les relations sexuelles, par l’allaitement, par voie utérine et par transfusion sanguine, voire même par l’alimentation, la viande notamment.En effet, selon lui, les bactéries de lyme pouvant se « cacher » à l’intérieur de biofilms, elles pourraient résister à de fortes températures…

Il parle également du test Elisa, qui est calibré pour rechercher des anticorps sur un type de borréliose, la borrélia burgdorferi, un type issu du continent américain; or il en existerait 4 autres types sur le continent européen, qui ne sont pas détectés par le test Elisa. Il parle également du test Western Blott, qui ne serait pas bien calibré en France et sous-évaluerait le nombre de personnes touchées par la maladie.

Selon lui toujours, la maladie de lyme est une pandémie mondiale : 80% de la population aurait déjà été en contact avec la bactérie de Lyme, et seulement 12% des porteurs de la maladie seraient malades, pour l’instant du moins.

Observer les spirochètes au microscope

Un diagnostic de la maladie de lyme peut être facilement réalisé en utilisant tout simplement un microscope et en regardant le sang du patient. Dans le sang circulent les bactéries de lyme. Ces bactéries, appelées spirochètes, ont une particularité : elles sont en forme de petites spirales et peuvent circuler en sens inverse du courant, en rampant un peu à la façon de petits serpents aquatiques. Les spirochètes ont également la particularité de se cacher à l’intérieur des globules rouges.

J’ai eu la chance d’observer moi-même des spirochètes dans mon sang, ce qui m’a confirmé sans doute possible un diagnostic qui était jusque là encore hasardeux (test Elisa négatif, comptage des CD57 positif).

Pour observer les spirochètes, il suffit d’une goutte de sang sur une lamelle. En attendant 30 à 60 minutes et en  écrasant un peu le sang, les spirochètes sortiraient plus facilement de leur cachette…

http://phys.org/news/2013-06-classic-microscopy-reveals-borrelia-bacteria.html

Une vidéo de spirochètes :